Sommaire
Coût moyen de l’eau du robinet : 0,005 centime le litre. Augmentation annuelle des tarifs. Répartition des coûts : 40 % pour le traitement et la distribution, 40 % pour l’assainissement, 20 % de taxes. Variabilité des prix selon les collectivités locales. Risque de facture d’eau > 2 fois le tarif moyen dans certaines zones géographiques. Nécessité de limiter la pollution dès la source pour réduire les coûts. www.touspourleau.fr |  |
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En moyenne, vous payez l'eau du robinet 0,005 centime le litre, mais les tarifs augmentent chaque année. Ce qu'on paie, ce sont les services de l'eau avec 40 % pour le traitement et la distribution d'eau potable, 40 % pour l'assainissement des eaux usées et 20 % de taxes et de redevances. Le prix est fixé par les collectivités locales et peut varier parfois du simple au double, selon l'endroit où l'on vit. Pour ne pas gonfler la facture d'eau, il faudrait limiter la pollution dès la source. TF1 | Reportage L. ADDA, N. CLERC, V. BROSSARD MA LISTE PAR www.tf1.fr
La consommation d’eau potable a baissé d’environ 1,5 % en un an à Toulouse Métropole grâce à la nouvelle tarification saisonnière, assure cette collectivité, mais des écologistes contestent cette interprétation et réclament des prix plus élevés pour les gros consommateurs et le retrait de la gestion au privé. www.ouest-france.fr |  |
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haque jour, environ 115.000 m³ d’eau sont consommés au Luxembourg. Et pas juste pour rafraichir ou laver tous les habitants du pays et des milliers de frontaliers mais aussi pour assouvir la soif de l’industrie ou les activités de restauration. Demain, cette ressource essentielle devra être gérée avec plus de précautions encore. Se faisant rare, l’eau pourrait même bien devenir plus cher. Tout comme son prix pourrait grimper du fait de l’augmentation des coûts de traitement pris en charge par les communes et syndicats intercommunaux qui, au Grand-Duché, en assure la distribution. Qui, demain alors, pourrait se retrouver priver d’eau ? Les moins aisés des citoyens, craint le député Pirate Marc Goergen. D’où son interpellation récente du ministre de l’Environnement pour savoir si le Luxembourg pourrait aller vers une tarification progressive de l’eau potable. Autrement dit, le m³ pourrait-il être facturé moins cher (voire offert) pour les moins bien lotis. www.lesfrontaliers.lu
La métropole de Toulouse vient de dresser le bilan de sa première année de tarification de l’eau selon la saison. D’autres villes ont expérimenté des changements de tarifs selon le niveau de consommation. Avec quel retour d’expérience ? www.ouest-france.fr
Le coût de la consommation d’eau en bouteille pour une famille tunisienne de cinq personnes a augmenté depuis 2022, atteignant entre 130 et 140 dinars par mois, selon les révélations de Hussein Rahili, expert en gestion des ressources hydriques, lors d’une interview avec l’agence TAP. Rahili attribue cette augmentation aux changements climatiques et à la hausse des températures, qui ont poussé les familles tunisiennes à consommer en moyenne six bouteilles d’eau par jour, surtout pendant l’été. L’expert souligne que l’adoption de l’eau en bouteille par les citoyens a connu une augmentation significative au cours de la dernière décennie, faisant de la Tunisie le quatrième pays consommateur d’eau en bouteille au niveau mondial par rapport à sa population. En 2024, la consommation annuelle moyenne d’eau en bouteille par individu en Tunisie a atteint environ 241 litres, contre 225 litres en 2020, selon les dernières statistiques de l’Office National des Eaux Minérales et de l’Hydrothérapie. lapresse.tn |  |
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Les tarifs de l'eau augmentent chaque année. En réalité, ce que payent les consommateurs, ce sont les services de l'eau et des taxes et redevances. Le 20H de TF1 a tenté d'établir que contient précisément une facture d'eau. www.tf1info.fr |  |
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La tarification saisonnière a permis d'économiser quelque 800 000 mètres cubes d'eau en 2024, c'est ce qu'a affirmé Toulouse métropole ce vendredi 6 juin, qui évoque une vraie réussite. Une interprétation contestée par l’opposition. La consommation de l'eau potable a diminué de 1,5 % en un an à Toulouse. Mais peut-on réellement imputer cette baisse à l'augmentation de son prix de 42 % entre juin et septembre 2024. Il y a débat entre la municipalité et les élus d'opposition. france3-regions.franceinfo.fr |  |
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L’Ofwat a donc décidé d’infliger une amende record de 123 millions de livres sterling (plus de 146 millions d’euros) pour ces violations environnementales, ainsi que pour des infractions liées à la distribution de dividendes à ses actionnaires, révélées à la suite d’une autre enquête. En d’autres termes, la compagnie a versé des intérêts élevés aux actionnaires et des primes injustifiées à ses dirigeants, au détriment d’investissements cruciaux pour moderniser ses infrastructures et s’adapter au changement climatique. Dans le même temps, elle a augmenté les factures d’eau de ses 16 millions de clients de 31 % en moyenne en avril 2025. En plus de cette amende, l’Ofwat va exercer à l’avenir des contrôles afin de s’assurer que les prix pratiqués ne lèsent pas les clients. Le régulateur de distribution d’eau a précisé que ces amendes seront «payées par la compagnie et ses investisseurs», et que ses sanctions n’affecteront pas le prix payé par les clients. David Black, le directeur général de l’Ofwat, a justifié cette importante sanction financière en déclarant que l’entreprise n’a pas «proposé de mesures acceptables» pour amoindrir l’impact de son activité sur l’environnement. Cette décision a été annoncée alors que le gouvernement a lancé une offensive à l’encontre des compagnies de distribution d’eau. Steve Reed, le secrétaire d’Etat à l’Environnement, a annoncé qu’un «nombre record de 81 enquêtes criminelles ont été ouvertes à l’encontre des compagnies de distribution d’eau.» Il se pourrait donc que Thames Water soit la première, mais pas la dernière, à être lourdement sanctionnée dans les prochaines années. www.liberation.fr
La consommation d’eau potable a baissé d’environ 1,5 % en un an à Toulouse Métropole grâce à la nouvelle tarification saisonnière, assure cette collectivité, mais des écologistes contestent cette interprétation et réclament des prix plus élevés pour les gros consommateurs et le retrait de la gestion au privé. www.letelegramme.fr |  |
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La principale et première composante est le service d'eau potable à hauteur de 42%. Cette part comporte l'abonnement au service d'eau potable (49,77€ TTC par an) ainsi que les consommations d'eau potable. Depuis le 1er janvier 2025, la consommation d'eau potable bénéficie d'une tarification solidaire et environnementale. Les 12 premiers mètres cube d'eau potable sont gratuits : ils correspondent à 30 litres d’eau par jour pour subvenir aux besoins « vitaux » en eau couvrant l’alimentation et l’hygiène d’un foyer de 6 personnes pendant 1 an. Entre 12 et 180m³ consommés, le tarif est de 1,3673€TTC par mètre cube. Au-delà de 180m³, le tarif par mètre cube consommé est de 2,7346€TTC. 2️⃣ La deuxième composante est l'assainissement qui représente 36% de la facture : il concerne la collecte et le traitement des eaux usées avant leur retour dans le milieu naturel. 3️⃣ La troisième composante, à hauteur de 22 %, est constituée des taxes (TVA) et redevances aux organismes publics telles que l'Agence de l’Eau et les @vnf_officiel Une tarification par tranches progressives est appliquée aux professionnels : Tranche 1 - 0 à 180 m3 : 1,3673€TTC/m³ Tranche 2 - 180 m3 à 1 800 m3 : 1,4633€TTC/m³ Tranche 3 - 1 800 m3 à 18 000 m3 : 1,5181€TTC/m³ Tranche 4 - 18 000 m3 et plus : 1,572€TTC/m³ www.instagram.com |  |
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Zonages tarifaires des services d’eau et d’assainissement collectif : le juge est souple… à la condition d’avoir tout de même un argument fondé sur des différences de situation ou sur l’application des dérogations légales… et pas juste sur une différence historique sans plus de justification que cela… Explication à la faveur d’une nouvelle, et importante, décision du Conseil d’Etat. blog.landot-avocats.net |  |
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A compter du12 janvier 2026, la France devra respecter une directive européenne concernant l’eau : le taux de Pfas, ces polluants éternels, ne devra pas excéder plus de 0,1 microgramme par litre d’eau analysé. Or, ce taux est largement dépassé dans l'agglomération de Saint-Louis (Haut-Rhin) au Sud de l’Alsace. www.rcf.fr |  |
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Certains ont cru trouver une solution en facturant plus à ceux qui consomment plus. Cette fausse bonne idée s'est heurtée à la question de la tarification des familles nombreuses directement frappées ou à celle des professionnels qui en sont exclus. L'essentiel du prix de l'eau est lié à l'entretien du réseau et non à la production elle-même. Ce réseau qui s'est étendu avec le temps pour desservir tous les foyers qui bénéficient également de l'infrastructure quelle que soit leur usage de l'eau. Deux pistes retiennent l'attention des spécialistes qui cherchent à mettre en avant la sobriété de la consommation. La première, opportuniste, comme la tarification saisonnière pourrait envoyer un "signal prix" en présence de stress hydrique saisonnier pour inciter à la réduction de la consommation à destination de tous les usagers. La seconde, plus stratégique, vise à augmenter la part fixe de l'abonnement et réduire la part variable de la consommation pour faire participer plus fortement les résidents secondaires et les logements vacants qui mobilisent les investissements dans le réseau sans apporter de recette en consommation. www.thierry-billet.org |  |
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Ce dimanche 1er juin 2025, à Toulouse et son agglomération, le prix de l'eau a augmenté de 42 % . Explications. À vos économies. Pour lutter contre la sécheresse et le gaspillage de l'eau, les autorités toulousaines ont pris une décision radicale : augmenter le prix de l'eau potable de 42 % cinq mois dans l'année, du 1er juin au 31 octobre. "Pendant les cinq mois où l’eau est la plus rare en Garonne, de juin à octobre, l’eau coûte plus cher (+ 42 %). Son prix baisse (-30 %) le reste de l’année, de novembre à mai, quand la ressource est davantage disponible", justifie Eau de Toulouse au sujet de cette belle augmentation. lopinion.com
La gestion des ressources en eau est plus cruciale que jamais, surtout avec les variations de prix qui impactent les consommateurs. En été, période de forte consommation, nombreux sont ceux qui se posent des questions sur l’effet de l’augmentation des prix de l’eau. Quelles sont les implications pour les utilisateurs, et comment la baisse de la disponibilité influencera-t-elle ce coût ? Table of Contents - Les enjeux de l’augmentation des prix de l’eau en été
- Facteurs contribuant à l’augmentation des prix de l’eau en période estivale
- Implications sociales et économiques
- Mesure de l’impact sur les ménages et les collectivités
- La réaction des consommateurs face à l’augmentation des prix de l’eau
- Pérennité et durabilité des ressources en eau
- Impact de l’augmentation des prix de l’eau en été
www.ville-de-cuers.com |  |
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Barcelone affiche l’une des factures d’eau du robinet les plus élevées d’Espagne, et même d’Europe. Entre stress hydrique, investissements dans le dessalement et gestion privée, les raisons s’additionnent — tout comme les euros sur les factures. (Crédit : Pixabay) En Espagne, toutes les villes ne sont pas égales face au prix de l’eau. Et Barcelone fait figure de mauvaise élève. Selon l’Organisation des consommateurs (OCU), un foyer de taille moyenne (3 à 4 personnes) paie en moyenne 520 € par an pour 175 m³ d’eau. C’est trois fois plus qu’à Guadalajara, où la même consommation coûte à peine 164 €. Même Madrid, pourtant capitale, s’en sort mieux avec environ 253 € par an, soit moins de la moitié du tarif barcelonais. Et ce n’est pas fini. En 2025, la facture a encore grimpé : l’aire métropolitaine a validé une hausse moyenne de +5,95 %, ce qui a fait passer une facture type de 47 à 49 € tous les deux mois. Les gros consommateurs sont les plus impactés, avec une augmentation de +6,7 %, tandis que les ménages économes ont vu leur note grimper de +2,9 %. www.equinoxmagazine.fr |  |
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Après les sécheresses de 2022 et de 2023, la disponibilité de l’eau potable en France n’a plus rien d’une évidence. Le modèle économique de distribution de l’eau imaginé à un moment où la ressource semblait infinie mérite d’être repensé. La tarification, d’une part, et l’exploitation, d’autre part, sont au cœur des réflexions à mener. www.science-et-vie.com
La fréquence et le prix des contrôles des SPANC sont fixés par les collectivités exerçant la compétence en matière d'assainissement non collectif (ANC), sous le contrôle du juge administratif, saisi par tout requérant ayant intérêt à agir. L'article R.2224-19-5 du CGCT précise que la part représentative des opérations de contrôle des installations d'ANC doit tenir compte notamment de la situation, de la nature et de l'importance des installations. Le coût de la redevance prélevée au titre de l'ANC peut donc varier d'une collectivité à l'autre, en raison notamment de la différence du mode d'organisation et de gestion du service, de la taille du service mais aussi des enjeux sanitaires et environnementaux locaux ou encore de la nature et de l'importance des installations. En outre, la part de la redevance d'assainissement non collectif qui porte sur le contrôle de la conception, de l'implantation et de la bonne exécution des installations est facturée au propriétaire de l'immeuble (article R.2224-19-8 du CGCT). Au surplus, le III de l'article R.2224-8 du CGCT dispose que les communes fixent la périodicité de ce contrôle, qui peut aller jusqu'à dix ans. En application de l'article L.2224-12-1-1 du CGCT, les services publics d'eau et d'assainissement sont autorisés à mettre en œuvre des mesures sociales visant à rendre effectif le droit d'accéder à l'eau potable et à l'assainissement dans des conditions économiquement acceptables par tous. www.assemblee-nationale.fr |  |
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Le prix de l’eau potable bondit de 42% à Toulouse à partir du 1er juin. Pour aider les habitants à réduire leur consommation, Toulouse Métropole relance la distribution gratuite de kits économiseurs d’eau. www.lejournaltoulousain.fr |  |
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En Ariège, la guerre de l’eau fait rage entre deux syndicats. D’un côté, le Saeppo, un syndicat local qui distribue l’eau à sept communes, étant propriétaire des sources ; de l’autre, le Smdea, qui assure la production. Entre tarifs contestés, conventions rompues et accusations de favoritisme de l’État, le dossier a viré au conflit. www.ladepeche.fr
Les ménages les plus modestes, qui peinent à régler leur consommation d’eau potable, ne verront pas, pour l’instant, l’eau bénéficier d’une tarification sociale. lequotidien.lu |  |
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Dimanche 1er juin 2025, le prix de l'eau va augmenter dans les 37 communes couvertes par Eau de Toulouse Métropole. Avant l'heure fatidique, les Toulousains profitent du bas tarif. actu.fr |  |
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Les agriculteurs sont vent debout contre le prix et la méthode de tarification de l'eau. Une situation qu'ils accusent de remettre en cause la viabilité même de leurs exploitations. Du côté de l'office hydraulique, on est peu disert mais on assure avoir ouvert des discussions sur le sujet. www.corsematin.com |  |
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Toute collectivité doit en principe appliquer pour un même service un tarif égal pour l'ensemble des usagers du territoire. En ce qui concerne les syndicats infra-communautaires maintenus par voie de délégation de compétence à la suite d'un transfert à une communauté de communes, la tarification relève de la seule responsabilité de la communauté de communes délégante et titulaire de la compétence. Si le délégataire ne peut fixer le prix de l'eau, il est en capacité de proposer au délégant un prix tenant compte des dépenses en fonctionnement et, le cas échéant, en investissements dans le cadre de la négociation conventionnelle. www.idcite.com |  |
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Mise en place il y a un an, la nouvelle tarification de l’eau selon les saisons a permis à Toulouse Métropole de maîtriser la consommation tout en sensibilisant les habitants. Robert Médina, vice-président en charge de l’eau, salue une réussite collective. www.ladepeche.fr |  |
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La tarification sociale de l’eau s’étend à Castres-Mazamet : 20 m³ d’eau potable gratuits par an pour alléger les factures et renforcer l’équité. La mesure s’appliquera au 1er juillet. www.ladepeche.fr |  |
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La tarification ciblée est basée sur 3 catégories d’abonnés, avec : pour les locaux à usage d’habitation disposant d’un abonnement individuel, un abonnement réduit, la gratuité de la tranche 0-10 m³ sur une consommation annuelle pour les parts délégataire et Collectivité, puis un tarif progressif sur les tranches de consommation suivantes (11-100 m³, 101-150 m³, > 150 m³ sur une consommation annuelle ; pour les immeubles collectifs sans abonnements individuels et pour les autres abonnés, un tarif d’abonnement unique et des tarifs au m³ uniques. En 2022, la tarification par catégorie est en place sur 57 communes (216 000 abonnés) de la Collectivité Eau du Bassin Rennais. Elle sera étendue dans les années à venir aux 18 communes ayant rejoint la Collectivité depuis 2019, dans le cadre de renégociation des contrats de la Collectivité avec ses délégataires. Chaque année, la part de la Collectivité sur le prix de l’eau est réajustée sur chaque contrat de délégation, en fonction de la part de l’exploitant délégataire, pour tendre vers un prix unique en 2024 pour les consommateurs domestiques (locaux à usage d’habitation et immeubles collectifs), et en 2025 pour les autres abonnés. Sur les communes ayant rejoint la Collectivité en 2021, la convergence vers le prix unique se terminera fin 2028 pour les abonnés domestiques et fin 2030 pour les autres abonnés. www.eaudubassinrennais-collectivite.fr |  |
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Depuis le 1er janvier 2024, les abonnés du Syndicat intercommunal des eaux de l'Igneraie constatent une légère augmentation du prix de l'eau. En effet, la facture d'eau qui reste composée d'une part proportionnelle à la consommation et d'une autre part fixe est passé de 1,95€/m³ à 2,16€/m³ TTC pour une consommation annuelle de 120m³. Une hausse mesurée, pleinement assumée par son président, Willy Peter, qui s'explique : "La mise en œuvre de projets d'envergure, qui ont pour objectif de garantir la sécurisation d'une distribution d'eau potable de qualité et qui s'étend sur un réseau de plus de 272km pour desservir 2 125 abonnés, nécessite des investissements et l'amélioration continue du réseau pour permettre d'assurer la pérennité d'un service de qualité." www.echoduberry.fr |  |
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David Weytsman (MR), nouveau président de Vivaqua, a annoncé que le tarif de l’eau dans la Région bruxelloise allait être augmenté. Il est actuellement de 4,76€/m³. C’est également le tarif le plus bas par rapport à la Région wallonne et flamande. Cette future augmentation est notamment justifiée par le président de Vivaqua par les besoins de rénovation du réseau d’égouttage. “Ces travaux d’égouttages sont importants parce que la vétusté des installations provoque des fuites qui sont répercutées sur les consommateurs”, explique Véronique van der Plancke, conseillère juridique au Centre d’Appui SocialEnergie. Un choix politique Cependant, si ces travaux sont nécessaires, répercuter le poids de ces travaux sur le consommateur relève surtout d’un choix politique pour Véronique van der Plancke. Selon elle, d’autres leviers pourraient intervenir, notamment avec des financements de la Région. “Elle pourrait décider de “figer” le prix de l’eau pour les consommateurs et compenser auprès de Vivaqua via une dotation publique, comme elle le fait déjà pour assurer l’assainissement de l’eau”, explique-t-elle. En février dernier, un subside régional exceptionnel d’environ 18 millions d’euros a été octroyé à l’intercommunale. Une somme qui ne sera pas suffisante cependant face à la dette de Vivaqua mais qui permet déjà d’assurer quelques frais. www.bruxellestoday.be
ProsperEau est un outil d'analyse financière et prospective pour les collectivités locales françaises, qui a été développé par l'Office International de l'Eau avec le soutien financier de l'Office français de la biodiversité. A destination des Élu(e) ou Responsable de service d'eau et d’assainissement, il permet d'aider les prises de décision pour assurer la cohérence des investissements avec le maintien des équilibres financiers. L'outil est gratuit pour les collectivités. Demandez-le via le formulaire : https://urlz.fr/sQYZ Autour de ProsperEau, l'OiEau vous propose : ➡ un forfait comprenant des séances d'accompagnement à l'utilisation de l'outil ➡ une prestation de service d'analyse et de prospective financière ➡ une formation portant sur l'analyse financière et prospective des services d'eau et d'assainissement En savoir plus sur ProsperEau : https://www.oieau.fr/eaudanslaville/p... Découvrir tous les projets de l'OiEau : https://www.oieau.org/nos-projets-en-... www.youtube.com |  |
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Destiné à promouvoir la qualité de l’eau du robinet dans la métropole bordelaise, le projet de création de carafes en verre siglées du logo de la régie publique fait polémique. Passer la publicité «On a déjà tous des carafes et des gourdes chez nous. Je trouve ça fou et hors sol de justifier de telles dépenses publiques au regard de l’état du pays», tacle d’emblée Fabien Robert (Modem). L’élu métropolitain, à l’origine de la révélation au grand public de la volonté de la Régie de l’eau de Bordeaux Métropole de créer des carafes à son sigle, s’attaque principalement au coût de ce projet. D’après le marché public qui doit se clôturer ce vendredi, le montant maximum de cet accord-cadre est fixé à 400.000 euros hors taxe pour une durée de quatre ans. www.lefigaro.fr |  |
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Il y a un an, la métropole occitane a mis en place des tarifs différenciés de l’eau potable en fonction de la saison, afin d’inciter les consommateurs à la préserver lors des périodes où la ressource se fait plus rare. L’impact de la mesure reste à confirmer sur le long terme. www.liberation.fr |  |
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L’eau canadienne aurait pu s’engouffrer jusqu’aux États-Unis par une petite brèche sujette à interprétation contenue dans l’Accord de libre-échange nord-américain (ALENA) entrée en vigueur en 1994. Ce dernier abattait les entraves au commerce jusqu’à accorder aux entreprises, en vertu du fameux chapitre 11, le pouvoir de contester en justice les lois qui, à leurs yeux, brimaient leurs affaires. Comment, dans ce contexte, empêcher la marchandisation de l’eau ? « Il fallait ne pas la présenter comme étant un produit, et c’était très délicat, dit M. Lasserre. Dans les années 1990, Ottawa a voulu légiférer en interdisant l’exportation de l’eau — mais interdire l’exportation de l’eau, ça voulait implicitement dire qu’elle était un produit. Ça voulait donc dire se mettre sous le coup d’une possible interprétation de l’ALENA qui aurait invalidé la loi canadienne. Le fédéral a plutôt décidé de se placer sous l’angle environnemental et a voté une loi qui interdit de sortir l’eau des bassins versants transfrontaliers, ce qui est non discriminatoire et qui n’est pas interdit par l’ALENA. » www.ledevoir.com |  |
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Cise Réunion, filiale du groupe SAUR et titulaire de contrats avec plusieurs communes, a distribué entre 2016 et 2022 sur plusieurs de ses réseaux de l’eau impropre à la consommation. La justice lui a imposé mardi d’indemniser plus de 89 000 personnes. www.lemonde.fr |  |
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“L’énergie a soif”, a écrit l’Agence internationale de l’énergie (AIE) dans un de ses commentaires. L'eau est utilisée dans la génération d' pour refroidir les centrales, dans l'extraction des énergies fossiles, dans le du pétrole et aussi dans l'irrigation des cultures destinées à la production de biocarburants. Une gestion durable de cette eau est nécessaire, alors même que le « stress hydrique » de la planète est déjà accentué par l’augmentation de la population et par les effets du . www.planete-energies.com |  |
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Le manque d'eau affecte déjà l'économie européenne, dans tous les secteurs, prévient la Banque Centrale Européenne (BCE). A terme, c'est la stabilité financière du continent qui est en jeu, selon le superviseur bancaire européen. L'économie européenne pourrait être massivement fragilisée par la sécheresse. C'est en tout cas ce qu'estime la Banque centrale européenne (BCE) dans une note récente. L'institution bancaire européenne avait déjà publié une analyse détaillée de la dépendance du système économique européen face à l'érosion de la biodiversité et la dégradation des services écosystémiques. Cette fois, elle s'est associée à l'université d'Oxford pour approfondir l'analyse, et cartographier précisément les risques économiques et financiers posés par la crise écologique globale. Leurs conclusions montrent que la sécheresse des sols constitue l'un des risques les plus importantes pour l'économie de la zone euro, menaçant potentiellement jusqu'à 15% de la production économique du continent, notamment dans l'agriculture, mais aussi dans l'ensemble de l'économie. Alors que les sécheresses sont appelées à se multiplier sous l'effet du réchauffement climatique, c'est même la stabilité financière de l'Europe qui serait fragilisée. enviropro-salon.com Dépenses pour l’eau et les milieux aquatiques |
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Quand Thames Water avait été privatisé en 1989 par Margaret Thatcher, l’entreprise ne supportait aucune dette. Elle atteint désormais 19 milliards de livres sterling (22,6 milliards d’euros). A quoi a servi cet argent ? Au vu des fuites et des pollutions d’eaux usées à répétition, il a davantage alimenté les actionnaires qu’il n’a été investi dans la modernisation des réseaux, suspectent les Britanniques. La fine fleur des fonds d’investissement, dont l’australien Macquarie, qui se sont succédé au capital de Thames Water, n’en sort pas grandie. www.lemonde.fr |  |
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C’est en 2015 que la Métropole de Montpellier est passée en régie publique de l’eau. Depuis, elle a étendu ses prérogatives à l’assainissement et lancé, en janvier 2023, une tarification progressive et incitative. Bilan. objectif-languedoc-roussillon.latribune.fr |  |
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La Métropole de Grenoble va lancer un nouvel appel à projets pour aider au financement d’actions en faveur de l’accès à l’eau et à l’assainissement dans des pays en développement. Une enveloppe de 240 000 euros, doublée par l’Agence de l’eau Rhône-Méditerranée-Corse, soutiendra les associations lauréates, avec une attention accordée aux pays où l’accès à l’eau représente un enjeu vital pour les populations. www.placegrenet.fr |  |
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L’Espagne mobilisera 340 millions d’euros (environ 381 millions de dollars) pour financer la construction d’une usine de dessalement d’eau de mer située dans la capitale économique marocaine, Casablanca, a annoncé la secrétaire d’Etat au Commerce, Amparo López Senovilla, le mercredi 7 mai 2025, lors d’une visite au Maroc. www.agenceecofin.com |  |
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La Tunisie bénéficiera de deux nouveaux financements totalisant 30 millions d’euros (34 millions $) de la Banque européenne d’investissement (BEI) en marge de la visite du vice-président de l’institution, Ioannis Tsakiris, à Tunis les lundi 28 et mardi 29 avril 2025. Selon un communiqué de la BEI publié lundi, ce projet cofinancé avec l’Agence française de développement (AFD) comprend notamment la construction d’une station de traitement à Bejaoua, la pose de conduites, l’installation de stations de pompage et de réservoirs, afin d’assurer la sécurité hydrique face à une demande en hausse de 50% d’ici 2040. Dans les détails, 22 millions d’euros seront alloués à la Société nationale d’exploitation et de distribution des eaux (SONEDE) pour achever un projet stratégique d’approvisionnement en eau potable du Grand Tunis, tandis qu’un prêt de 8 millions d’euros sera accordé directement à l’Etat tunisien. www.agenceecofin.com |  |
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Les chiffres sont sans appel : 2,4 milliards de personnes vivent déjà sous un stress hydrique sévère selon le World Resources Institute. Le Forum Economique Mondial avance quant à lui que 50 % du PIB mondial dépend directement d’un accès sûr à l’eau. Et les entreprises interrogées par le Carbon Disclosure Project estiment à plus de 15 milliards de dollars les pertes financières liées à l’eau pour la seule année 2023. Si rien ne change, 40 % des besoins mondiaux en eau ne seront pas couverts d’ici 2030. Pour les gestionnaires d’actifs, cela signifie que certains investissements – même jugés résilients sur le plan climatique – peuvent en réalité être exposés à des risques hydriques majeurs, avec des impacts directs sur la performance financière et la valorisation long terme. sphere.swiss |  |
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La Commission européenne a adopté, ce 4 juin, sa "stratégie de résilience de l'eau". Mesure phare mais floue, la volonté affichée "d'améliorer l'utilisation de l'eau de 10% d'ici 2030", qui n'est pas sans évoquer le plan Eau français. Pour y parvenir, la Commission mise notamment sur la modernisation des infrastructures pour réduire les fuites : 15 milliards d'euros de prêts seront mobilisés par la Banque européenne d'investissement à cette effet. www.banquedesterritoires.fr |  |
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860 millions d’euros européens mobilisés pour La Réunion entre 2021 et 2027 Le soutien de l’Union européenne à La Réunion se matérialise à travers des investissements d’envergure qui participent directement au développement du territoire. Pour la période 2021-2027, plus de 860 millions d’euros ont été mobilisés via le Fonds Européen de Développement Régional (FEDER). Derrière ce montant, c’est une véritable dynamique de transformation économique, sociale et environnementale qui se déploie au bénéfice des Réunionnais. batisseurs-outremer.com |  |
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À ce jour, parmi les institutions financières internationales, la BEI est le premier bailleur de fonds du secteur de l’eau à l’échelle mondiale. Au cours de la période 2008-2012, elle a alloué 17 milliards d’EUR environ de prêts directs pour des projets dans le secteur de l’eau (irrigation et assainissement compris), dont 89 % ont été réalisés dans les États membres de l’Union européenne. Durant cette période, ce sont en tout 136 grands projets d’adduction d’eau, d’assainissement et de protection contre les inondations qui ont été financés. www.eib.org
Ce sont, en effet, 764 000 euros que le SyAGE a dépensés pour installer 41 nouvelles stations de mesure, dont 36 à l’amont du territoire. Au total, 69 stations ont été mises en place. Un déploiement stratégique destiné à renforcer la télésurveillance des cours d’eau et une démarche indispensable pour prévenir les inondations. mesinfos.fr |  |
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Un arrêté du 23 mai encadre le montant pluriannuel des dépenses du 12e programme d’intervention des agences de l’eau. Le plafond pluriannuel des autorisations d’engagement des agences de l’eau, au sens du décret du 7 novembre 2012, sur la période 2025-2030, est fixé à 13,979 milliards d’euros, hors contributions aux autres opérateurs de l’eau et de la biodiversité, hors fonds fléchés, hors dépenses relatives au fonds d’investissement hydraulique agricole et hors charges de régularisation. Il est réparti entre différents domaines d’intervention, mentionnés à l’article L. 213-9-1 du code de l’environnement : www.lagazettedescommunes.com
Afin de garantir un financement adéquat et de mobiliser les investissements publics et privés, la Commission augmentera les fonds disponibles au titre de la politique de cohésion pour l’eau et adoptera une feuille de route pour les crédits nature. La Banque européenne d’investissement lancera également un nouveau programme pour l’eau et un mécanisme consultatif pour l’eau durable, en coopération avec la Commission, et mettra à disposition plus de 15 milliards d’euros de financement prévu pour la période 2025-2027. Les investissements privés jouent un rôle essentiel dans le renforcement de la résilience dans le domaine de l’eau et doivent être considérablement intensifiés. www.europedirectpyrenees.eu |  |
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Réponse au JO avec l’arrêté du 23 mai 2025 encadrant le montant pluriannuel des dépenses du 12e programme d’intervention des agences de l’eau (NOR : TECL2512132A) : … et avec ce tableau (pour un total, sur la période 2025-2030, de 13,979 milliards d’euros, hors contributions aux autres opérateurs de l’eau et de la biodiversité, hors fonds fléchés, hors dépenses relatives au fonds d’investissement hydraulique agricole et hors charges de régularisation : blog.landot-avocats.net |  |
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Souffrant d'un sous-investissement dans un système d'égouts qui date, pour grande partie, de l'époque victorienne, les compagnies des eaux britanniques, privatisées depuis 1989, sont sous le feu des critiques depuis plusieurs années à cause du déversement de quantités importantes d'eaux usées dans les cours d'eau et en mer. Pour autant, «les dirigeants du secteur se sont octroyé plus de 112 millions de livres (133 millions d'euros) en bonus et primes d'intéressement au cours de la dernière décennie», pointe le gouvernement. L'exécutif travailliste, arrivé au pouvoir en juillet, a promis de réformer un secteur «en crise» et a déjà légiféré pour durcir les sanctions contre les patrons de compagnies qui ne respecteraient pas la loi. www.lefigaro.fr |  |
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La facture s'annonce salée pour la France, sans pour autant qu'il soit possible à ce stade de l'évaluer précisément. La directive européenne dite « eaux résiduaires urbaines » (la Deru), approuvée le 27 novembre 2024, va engendrer toute une série de nouvelles obligations en matière de dépollution des eaux usées. Le gouvernement avait lancé dès avril 2024 une mission d'inspection interministérielle, précisément pour en estimer le coût dans l'Hexagone. Menée par l'Igedd (Inspection générale de l'environnement et du développement durable) et l'IGA (Inspection générale de l'administration), cette mission a achevé ses travaux il y a quelques semaines. Selon son rapport, que « Les Echos » ont pu consulter, elle n'a pu « produire que des ordres de grandeur, à prendre avec la plus grande prudence ». Elle a néanmoins établi que « l'évaluation de la Commission européenne est globalement sous-estimée ». www.lesechos.fr
La Banque mondiale, par l’intermédiaire de l’Association internationale de développement (IDA), a accordé un financement additionnel de 54 millions de dollars pour soutenir le projet MIONJO dans le sud de Madagascar. Ce financement porte à 2,3 millions le nombre total de bénéficiaires de ce programme lancé en 2020. Le projet vise à améliorer les conditions de vie des populations dans une région confrontée à l’extrême pauvreté et aux effets du changement climatique, en investissant dans l’agriculture, l’accès à l’eau, la gouvernance locale et la gestion des risques. Avec cette nouvelle enveloppe, 900 000 personnes supplémentaires bénéficieront de solutions concrètes, telles que l’accès à l’eau potable, l’amélioration de la nutrition, le développement d’infrastructures alimentées en énergie solaire et la création d’activités agricoles et de pêche adaptées aux réalités climatiques. Le projet permettra également d’accompagner 2 000 nouveaux ménages dans les chaînes de valeur autour de la patate douce, de soutenir près de 2 000 groupes de production et de renforcer la gouvernance à travers l’élaboration de 101 nouveaux plans communaux de développement. www.madagascar-tribune.com |  |
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Un prêt de 170 millions d’euros de la Banque européenne d’investissement permettra à Eau d’Azur, société entièrement contrôlée par la Métropole Nice Côte d’Azur, de reconstruire et agrandir la station d’épuration des eaux Haliotis. Le projet doit bénéficier à l’équivalent de 680.000 habitants de la métropole niçoise et permettra également de limiter les déversements en cas d’orages dans la Méditerranée. Le financement de la BEI a été annoncé dans le cadre des Journées de l’adaptation climatique organisées par la BEI et la Commission européenne avec le soutien de l’EDHEC, à la veille de la Conférence des Nations Unies sur l‘Océan. www.eib.org |  |
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Révision des redevances, renforcement des contrôles, réflexions sur le quasi-statut, etc. : la Cour des comptes a listé les points d'amélioration de l'agence de l'eau Loire Bretagne. Loïc Obled, son directeur, y répond. www.actu-environnement.com |  |
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Alors que se tient, à Nice, la Conférence des Nations Unies sur l’océan, la Banque populaire du Sud, dont le siège social est à Perpignan, annonce la recapitalisation de son fonds dédié, Sud Mer Invest, à hauteur de 7 millions d’euros, portés à 10 millions d’ici 2030. Plusieurs PME et start-ups régionales sont concernées. Fonds d’investissement régional, Sud Mer Invest gagne en capital pour accompagner un élargissement de son périmètre d’action. La Banque populaire du Sud a en effet décidé de soutenir les acteurs de la gestion durable de l’eau, en plus de l’économie maritime et littorale. Pour ce faire, elle recapitalise son fonds à hauteur de 7 millions d’euros qu’elle entend porter à 10 millions à l’horizon 2030. www.lindependant.fr |  |
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Seulement 1,2 milliard de dollars par an (Md$/an) est affecté à la protection de océans, alors qu'un investissement de 15,8 Md$/an est nécessaire pour atteindre l'objectif d'en protéger 30 %, estime un rapport (1) publié, jeudi 5 juin, par un consortium d'ONG et d'investisseurs (2) dans la protection de la nature. Soit un déficit d'investissement de 14,6 Md$/an. www.actu-environnement.com |  |
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La Cour des comptes pointe, dans un rapport, plusieurs dysfonctionnements de l'agence de l'eau Loire-Bretagne : qu'ils soient liés à des difficultés de recrutement, au contexte financier tendu ou à des déséquilibres dans les redevances. Explications. www.actu-environnement.com |  |
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Un rapport de la Cour des comptes dévoile ce lundi 23 juin l’ensemble des dépenses publiques réalisées dans le cadre des jeux Olympiques de 2024 à Paris. Le coût du projet visant à rendre la Seine baignable fait débat. www.challenges.fr |  |
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La loi Oudin-Santini, adoptée en 2005 à l’unanimité du Parlement, permet aux collectivités territoriales et aux syndicats d’eau d’affecter jusqu’à 1 % de leur budget eau et assainissement à des actions de coopération internationale. Cette initiative, portée conjointement par le député André Santini et le sénateur Jacques Oudin, a marqué un tournant décisif en institutionnalisant l’aide au développement dans ce secteur. Le Syndicat des Eaux d’Île-de-France (SEDIF), pionnier et plus grand contributeur en France hors État, a rappelé son bilan et ses engagements futurs : 50 M€ mobilisés depuis 1986 Plus de 300 projets dans plus de 20 pays 5 millions de bénéficiaires dans le monde Une dotation annuelle portée à 2,4 M€ depuis 2015 www.sedif.com
Une aide nationale est ouverte du 30 mai 2024 au 31 décembre 2025 pour soutenir les exploitations agricoles dans leurs investissements liés à la gestion de l’eau et à la résilience face à la sécheresse. Pour être éligible, chaque demande doit inclure au moins un matériel d’irrigation et un outil d’aide à la décision, selon les listes définies par les autorités. Les projets doivent respecter les règles européennes sur les aides d’État et ne peuvent accroître les surfaces irriguées que si les ressources en eau locales sont jugées suffisantes. Montant et taux d’aide : Dépenses éligibles : entre 1 000 € et 40 000 € HT (jusqu'à 150 000 € HT pour les CUMA/ASA) Taux de base : 30 % Majoration de 10 points pour les jeunes agriculteurs, nouveaux installés et CUMA Pour les ASA : sous régime de minimis (plafond de 300 000 € sur 3 ans) Publics concernés : Exploitants agricoles, GAEC, EARL, SCEA, lycées agricoles, ASA, CUMA, GIEE, et stations expérimentales. Les demandes sont à déposer via une téléprocédure, jusqu’à épuisement des fonds ou au plus tard le 31 décembre 2025. gard.chambres-agriculture.fr |  |
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Jeannick Atchapa, vice-président du Conseil départemental de La Réunion et Marie-Pierre Nicollet, directrice de l’Agence française de développement (AFD) La Réunion ont signé ce lundi 23 juin 2025 une convention de financement d’études via le Fonds Outre-Mer (FOM) pour un montant de 400.000 euros. Cet appui financera les études de techniques et de conception du projet de réutilisation des eaux usées traitées (REUT) sur le territoire de La Réunion. Nous publions ci-dessous le communiqué (Photo : Département) imazpress.com |  |
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Le plus grand distributeur d'eau du Royaume-Uni, Thames Water, en grande difficulté, a annoncé mardi que le fonds d'investissement américain KKR avait renoncé à participer à son projet de recapitalisation. Thames Water, qui croule sous une montagne de dettes et sur qui plane le spectre d'un plan de sauvetage public s'il ne parvient pas à trouver les financements privés dont il a besoin, cherche activement un repreneur. La compagnie des eaux de la région de Londres avait précédemment dit avoir reçu six propositions et annoncé fin mars faire de KKR son «partenaire privilégié» dans les discussions de rachat. «Cependant, KKR a indiqué qu'elle ne serait pas en mesure d'aller de l'avant et que son statut de partenaire privilégié était désormais caduc», écrit mardi Thames Water dans un communiqué. www.lefigaro.fr |  |
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Analyse économique et décision |
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Notre économie doit devenir intelligente dans le domaine de l’eau et nous devons par conséquent commencer à utiliser l’eau de manière intelligente. Le reste du monde observe l’Union européenne pour s’en inspirer et trouver des solutions, car le stress hydrique constitue un défi d’ampleur mondiale. C’est pourquoi l’UE propose une stratégie globale de résilience pour l’eau. Cette stratégie expose la manière dont l’Europe peut devenir intelligente dans le domaine de l’eau, au bénéfice de nos citoyens, de nos entreprises, de notre compétitivité et de nos écosystèmes. Elle repose sur le principe consistant à donner la « priorité à l’utilisation rationnelle de l’eau », qui implique de réduire la demande avant d’augmenter l’offre. Nous aiderons les pays à agir à tous les niveaux et dans tous les secteurs pour économiser l’eau avant de puiser dans davantage de ressources. L’eau est gérée à de nombreux niveaux ; les municipalités et les régions sont souvent les mieux placées pour agir. www.actu-environnement.com |  |
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Pour lutter contre les sécheresses à venir et absorber un tourisme en hausse, les autorités catalanes misent sur des solutions techniques comme le dessalement de l’eau de mer. Un choix qui entraîne un coût financier et environnemental, que dénoncent les écologistes. www.lavie.fr |  |
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